On danse, on danse et on danse beaucoup au Balaton Sound
La magie opère dès que l’on passe les portes du Balaton Sound. La boule disco qui surplombe l’entrée offre des bienfaits pour se sentir bien et être ‘désinhibé’ face aux headliners présents lors de l’édition 2015. Vous devez penser que je suis encore sous l’effet de cette boule à facettes et oui peut-être bien. En 2014, on dansait dans la boue, en 2015 on danse sur la terre ferme, dans l’eau, en groupe, en solo, du twerk, du jump, tout est permis.
crédit photo : Varga Benedek
Lors de la précédente édition, de nombreuses vidéos de personnes dans la boue ont tourné sur le web, cette année, c’est un autre homme qui a fait le buzz avec une danse des plus stranges. Il se fiche des gens autour de lui, il kiff le son et c’est tout ce qui lui import. Avec lui, la tecktonik est redevenue à la mode, ça vaut le détour, n’hésitez pas à cliquer sur la photo…
Niveau girl, il y a celle qui regarde trop les vidéos de Diplo et qui nous offrent des battle de twerk gratis. Certes, cela à son effet sur la gente masculine mais à mon avis, ça manque un peu de classe. Dans l’eau, elles ne sont pas en reste puisqu’elles nous proposent de la danse mais sur les épaules des mecs, c’est un genre, mais qui est très peu répendu chez nous, dans l’ouest de l’Europe…
crédit photo: Mudra László
crédit photo : MozsiGabor
Dans les premiers, lorsqu’on est dans le pit, le moment qu’on attend le plus avec l’arrivée de l’artiste, c’est de voir les visages des fans s’éclairer et leurs corps s’animer dès les premiers secondes de musique de leur idole. Certaines photos parlent plus que les vidéos tellement l’expression est forte. En voici une belle sélection…
Comme à chaque festival, le crowdsurfing est devenu une mode. Depuis les rockeurs en passant par Steve Aoki, c’est une mode devenue commune. C’est une nouvelle façon de ‘danser’ pour se faire remarquer dès le premier coup d’oeil. Que ça soit dans un bateau pneumatique ou directement sur les mains des festival-goers, le #surfing a de belles années devant lui!
crédit photo : Varga Benedek