Virginie Efira se confie au magazine Elle
Une actrice belge en couverture de Elle Magazine, magazine français hebdomadaire. Lors d’un entretien accordé à Elle, après une séance photo que l’actrice a réalisé à Stromboli, Virginie Efira, 41 ans évoque l’un de ses complexes dont elle a du mal à se passer.
Image: Instagram @virginie_efira_
Les complexes touchent tout le monde
En effet, même des actrices très réputées peuvent souffrir de complexes et de surcroît les assumer. L’actrice n’aime pas ses mains. « Elles sont moches, d'ailleurs, quand un homme m'assure qu'elles sont belles, j'imagine qu'il est très amoureux. »
Elle a ensuite avoué: « Je dis toujours beaucoup de trucs négatifs sur moi, ça encourage les autres à suivre, comme ça, je suis sûre qu'ils n'essaient pas de me ménager, j'ai une petite obsession de vérité sans doute pas très intéressante. »
Image: Instagram @virginie_efira_
En novembre, elle sera à l'affiche du film « Un amour impossible » de Catherine Corsini, une adaptation du livre de Christine Angot, avant de retrouver Paul Verhoeven dans un nouveau projet très secret. « L'histoire d'une religieuse qui désire follement une femme », explique Virginie.
« J'aime qu'on me propose ces personnages, plus complexes, plus sexués, avec l'âge. Quand on arrive à raconter l'intimité au creux d'un geste, jouer avec un corps imparfait, moi qui étais d'une grande pudeur physique, je me surprends. »
Image: Instagram @virginie_efira_
Longtemps, on l'a cantonnée à des rôles dans des comédies romantiques. « Qu'est-ce que j'ai pu dire: Pardon en fait, je t'aime, puis rouler une grosse pelle avant le générique », plaisante l'actrice, née à Schaerbeek. « Moi, je rêvais de ressembler à Charlotte Gainsbourg, qui symbolisait une forme de distinction parisienne, quelque chose de classe. Je me disais: Pourquoi j'ai l'air de venir du Texas? »
