Cette mère de famille doit rembourser 22 500 euros à la CAF
Une mère de famille doit rembourser la somme de 22 500 euros à la CAF. Une somme importante qu'elle ne peut pas payer.
Une mère de famille vit actuellement un véritable cauchemar. Elle doit rembourser 22 500 euros auprès de la CAF. Une situation très difficile à vivre.
Des fraudes trop nombreuses ?
La CAF est un organisme très important pour des millions de personnes. Et ce, depuis de nombreuses années.
Malgré son utilité, les mauvaises nouvelles peuvent arriver. Et c’est le cas de cette mère de famille. Elle doit rembourser près de 22 500 euros auprès de la CAF.
Une situation très difficile à gérer pour cette mère de famille. Et ce, bien que les raisons semblent encore floues.
En effet, de nombreuses personnes n’hésitent pas à effectuer des fraudes envers la Caisse d’allocations familiales. De nombreux cas sont présents en France. Et cela apporte de nombreux soucis.
Des millions d’euros ne sont pas distribués aux bénéficiaires de la CAF. Causant alors une perte d’argent nette pour ces derniers. De ce fait, des contrôles de la Caisse d’allocations familiales sont présents.
Mais parfois, certaines incohérences peuvent arriver auprès de la Caisse d’allocations familiales. Et c’est le cas de cette mère de famille.
Elle vit une situation délicate, qui peut lui coûter 22 500 euros. Certains points sont à éclairer sur cet élément. Et ce, bien que la mère de famille ne cesse de se défendre.
Elle doit 22 500 euros à la CAF
C’est une histoire assez étonnante. Une mère de famille doit rembourser la somme de 22 500 euros à la CAF.
En 2019, cette mère de famille a décidé de quitter le Tarn. Et ce, pour fuir son mari violent, étant victime de violences conjugales.
En partant, elle décide d’être en colocation chez un ami d’enfance dans les Landes. Elle évoque cela : “Nous avons alors établi un contrat de colocation, je versai un loyer et j’ai passé des entretiens d’embauche pour du travail”.
Mais, à cause du confinement, les promesses d’embauche n’ont pas lieu. Ainsi, elle effectue une demande d’allocation journalière de présence parentale. Et ce, auprès de la CAF.
Mais en 2020, une contrôleuse de la CAF se présente à son domicile. Et elle déclare que la mère de famille vit en concubinage. Et non en colocation.
Par la suite, elle a été obligée de signer un document. Et ce dernier stipule qu’elle vit en concubinage.
La mère de famille victime de la CAF ajoute cela : “L’agente m’a condamnée à mort. Dans la foulée, j’ai reçu un courrier m’expliquant que je devais rembourser toutes les prestations que j’avais touchées depuis mon installation dans les Landes… Soit 19 000 €”.
En plus de ces 19 000 euros à rembourser, elle a écopé d’une amende de 3 500 euros. Aujourd’hui, cette mère de famille est dans l’incapacité de payer une telle somme.
Contacté par nos confrères de La Dépêche, la CAF ajoute : “Une personne n’est pas considérée comme isolée si le contrôleur assermenté relève une communauté financière ou matérielle entre deux personnes”.
Elle précise aussi que tout cela se situe dans le Code de la Sécurité Sociale. Et cette situation semble sans solution pour cette mère de famille victime de la CAF. Elle se bat pour faire reconnaître ses droits. Mais cela prend énormément de temps.