Cette épice très utilisée en cuisine aurait le pouvoir de freiner la maladie d’Alzheimer selon cette étude

Cette épice très utilisée en cuisine aurait le pouvoir de freiner la maladie d’Alzheimer selon cette étude

Cette épice fréquemment utilisée dans la cuisine pourrait freiner la progression de la maladie d’Alzheimer.

Cette épice très utilisée en cuisine aurait le pouvoir de freiner la maladie d’Alzheimer d’après cette étude. Et il est nécessaire de tout savoir à ce sujet.

Une maladie dangereuse

En France, des milliers de personnes se voient touchées par la maladie d’Alzheimer. Et aucun remède ne semble capable de les aider.

Mais d’après cette étude, cette épice souvent utilisée en cuisine pourrait bien s’avérer utile. Le tout, en freinant l’évolution de ce fléau.

Par ce biais, il faut comprendre que la médecine n’arrive toujours pas à soigner ce mal. Et ce, malgré de nombreux efforts et divers travaux spécifiques.

Et le nombre d’incidences ne cesse de se développer, ce qui n’est pas une bonne nouvelle. Sans oublier que de plus en plus de jeunes patients sont impactés par cet élément.

Par conséquent, il est assez urgent de trouver un médicament capable de réduire les effets néfastes causés par la maladie d’Alzheimer comme des pertes de mémoire et de sens. Et d’après une étude, cette épice pourrait bien être la solution.

Il faut dire qu’il peut apporter des résultats bénéfiques pour les personnes malades. Et il est essentiel de tout savoir à ce sujet.

Cette épice pourrait réduire la maladie d’Alzheimer

En France, des milliers de personnes se voient touchées par la maladie d’Alzheimer. Et cela représente un véritable fléau au quotidien.

Mais d’après cette étude, une épice serait à même de réduire les effets liés à ce mal. Et il est nécessaire de tout savoir à ce sujet.

Par ce biais, un groupe de chercheurs de l’institut Scripps Research en Californie a découvert qu’un composé présent dans les plantes aromatiques pouvait inverser les dégradations causées par cette pathologie.

Pour appuyer ces propos, ils ont décidé de mener une étude sur 45 souris parmi lesquelles certaines présentaient des mutations génétiques spécifiques (5xFAD) liées à la maladie d’Alzheimer. Et dans la suite de leur recherche, ils ont administré trois fois par jour une version stable de l’acide carnosique qui est disponible dans le romarin et la sauge.

À noter que trois doses ont été données à ces animaux, qui sont 10 mg/kg, 20 mg/kg ou 50 mg/kg. Sans oublier que certaines espèces ont pris un placebo composé d’huile d’olive.

Des détails supplémentaires

De ce fait, les résultats semblent assez prometteurs face à la progression de la maladie d’Alzheimer. En effet, l’administration de l’acide carnosique augmente la connexion neuronale pour les sujets concernés.

Et ce n’est pas tout, car une réduction de l’inflammation cérébrale et une diminution des protéines nocives sont aussi à prendre en compte. Et ce traitement paraissait même restaurer la mémoire des souris touchées par ce mal, ce qui est une chose bénéfique.

Par conséquent, ces résultats prometteurs pourraient ouvrir la voie à des essais sur les humains. Et cela serait une grande avancée pour la médecine et pour soigner les personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer.

Mais attention, car de nouvelles études devront voir le jour dans un avenir plus ou moins proche. Le tout, dans le but d’éviter divers soucis spécifiques et de proposer un médicament efficace face à ce fléau.