Dosseh, ou le rappeur qui ne sait pas ce qu’est le rap !
Pour ceux qui ne le connaîtraient pas, Dosseh est originaire de la banlieue d’Orléans, de son vrai nom Dosseh Dorian Ngoumou.
Petit frère de Pit Baccardi, il fait durant ses débuts une apparition dans l’une de ses mixtape. Petit piston qui lui donne la chance d’apparaître dans le milieu à partir des années 2000.
Dosseh commence à écrire ses premiers textes entre 13 et 14 ans, et se fait remarquer par son apparition dans des albums, divers projets et autres mixtapes ainsi qu’avec des collaborations avec des artistes tels que Niro, sofiane, Booba, Seth Gueko, Kaaris, Rim’k, Youssoupha etc.
Pour les curieux, vous pouvez notamment le retrouver dans Autopsie 3, One Beat, Street Lourd et Talents fâchés, Bolide…
Il revient récemment avec un film Karma et est actuellement en train de préparer son premier album solo Peretroïska.
Mais revenons plutôt au sujet de cet article, maintenant que vous êtes briefé sur la personne en question.
Notre très cher rappeur Dosseh a récemment fait le buzz sur Twitter, avec une magnifique allégation concernant le rap, que nous vous laissons découvrir par vous-même. Mais attention, cela peut piquer les yeux.
Alors, il est maintenant nécessaire de reprendre de bonnes bases. A savoir, Monsieur Dosseh, concernant la définition du Rap :
« Le rap est une forme d’expression vocale sur fond musical appartenant au mouvement culturel hip-hop, apparue au milieu des années 1970 dans les ghettos aux États-Unis », « Le mot rap provient de l’anglais « to rap », verbe qui signifie « bavarder sur un fond rythmique » dans l’argot noir américain » (Source : Wikipédia)
Mais si, Wikipédia ne paraît pas être une source assez fiable, peut être que vous serez plus convaincu par la version d’Universalis :
« Le verbe anglais to rap, signifiant « débiter vite, parler de manière accélérée », s’impose alors comme la meilleure définition de ce nouveau mode d’expression. » (Source : Universalis)
Pour la petite histoire, le rap vient tout de même de la fin des années 60, aux Etats Unis, d’un collectif de jeunes Noirs militants « ayant mis leur rage en rimes et en percussions afin de transmettre leurs messages révolutionnaires».
Mais il est vrai que dans le rap, le texte importe peu, tout ceci mis à part. Il n’y a qu’à jeter un œil aux paroles du jeune homme pour confirmer cette assertion.
Après tout n’est pas intellectuel qui veut, au moins certaines personnes sont assez humbles pour l’admettre.